Roca : siltita subpizarrosa Tipo : roca metamórfica de origen sedimentario Edad : entre 590 y 540 Ma Cantera : Cantera de los Lagos, lugar llamado Ripennelais en Saint-Aubin-des-Landes (Ille-et-Vilaine)
Pizarras rústicas
Esta roca se explota desde hace más de dos siglos y se utilizó inicialmente para fabricar lauzes, esas pizarras rústicas muy gruesas colocadas en los tejados de algunas regiones de Francia. Pero como su calidad como pizarra no era muy buena, esta roca de más de 500 millones de años dejó de ser rentable y la producción de pizarras tuvo que abandonarse a finales de los años 1990.
Una aliada contra la lluvia
Como era más fácil triturar el material que extraer pizarras, ya en los años 1960 la empresa diversificó su producción y se especializó en virutas para valorizar sus residuos de cantera. Estas virutas se utilizan entonces para fabricar tejas asfálticas (“shingle” en inglés). Protegen el alquitrán del sol y de la luna, y siguen siendo buenas aliadas para protegerse de la lluvia.
En los años 2000, la empresa familiar se lanzó en el "acolchado mineral" para el sector de los espacios verdes. Este último, complementario del acolchado vegetal, tiene múltiples ventajas: conserva el calor del suelo, alberga mucha vida, sigue siendo permeable al agua y al aire, y limita el deshierbe.
¡Realizado con… brío!
Esta siltita pertenece a una formación geológica datada del briovérico, un periodo de la escala geológica que se sitúa entre -670 y -540 millones de años. La palabra “briovérico” proviene del latín "briovera", que significa “puente sobre el Vire”, y no es otra cosa que el antiguo nombre de la ciudad de Saint-Lô, en Normandía, donde también aflora esta formación geológica.} : roche métamorphique d’origine sédimentaire Age : entre 590 et 540 Ma Carrière : Carrière des Lacs, lieu-dit Ripennelais à Saint-Aubin des Landes (Ille-et-Vilaine)
Des ardoises rustiques
Cette roche est exploitée depuis plus de 2 siècles et servit d’abord à la fabrication de lauzes, ces ardoises rustiques très épaisses posées sur les toits dans certaines régions françaises. Mais sa qualité ardoisière n’étant pas très bonne, cette roche de plus de 500 millions d’années ne faisait plus recette et la production d’ardoises a dû être abandonnée à la fin des années 1990.
Une alliée contre la pluie
Puisqu’il est plus facile de réduire le matériau en miettes que d’en extraire des ardoises, dès les années 1960, l’entreprise diversifie sa production et se spécialise dans les paillettes pour valoriser ses déchets de carrière. Ces paillettes sont alors utilisées dans la fabrication de bardeaux bitumeux (“shingle” en anglais). Elles protègent le goudron du rayonnement solaire et lunaire et restent de bonnes alliées pour se protéger de la pluie.
Dans les années 2000, la société familiale se lance dans le “paillage minéral” pour le secteur des espaces verts. Ce dernier, complémentaire du paillage végétal, a de multiples avantages : il conserve la chaleur du sol, abrite beaucoup de vies, reste perméable à l’eau, à l’air, et limite le désherbage.
Réalisée avec… brio
Cette siltite appartient à une formation géologique datée du briovérien, une période des temps géologiques située entre -670 et -540 millions d’années. Le mot briovérien vient du latin “briovera” qui signifie “pont sur la Vire” et n’est autre que l’ancien nom de la ville de Saint-Lô, en Normandie, où cette formation géologique affleure également.
